lundi 15 février 2010

Améliorer la relation numérique entre l’administration et les usagers

Eric Woerth, ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l’Etat et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique procédaient le 19 Octobre 2009 au lancement officiel de « mon.service-public ». Ce nouvel espace permettant d'accéder aux démarches administratives en ligne avec un seul mot de passe était enrichi de 15 nouveaux services en ligne destinés à faciliter et enrichir les prestations proposées au public.
Profitant de cette occasion, un groupe de 7 experts du numérique à été constitué, dirigé par Franck RIESTER, député-maire de Coulommiers, pour l’élaboration d’un programme « Ensemble simplifions » destiné à améliorer la relation numérique entre l’administration et les usagers.

Après 3 mois de travail, le groupe remet aujourd’hui son rapport basé sur l’état des lieux de l’administration numérique actuelle et proposant près de 25 actions à mener afin d’améliorer le service.
Voici quelques mesures proposées :
  • Diviser par 10 le nombre de sites Internet de l’Etat
  • Permettre de reconnaître un site officiel et son contenu au premier coup d’œil
  • Pouvoir se connecter avec un même identifiant à tous les services de l’administration
  • Garantir un égal traitement et un service performant quel que soit le contact sollicité
  • Généraliser les fonctions de paiement dématérialisé
  • Proposer en ligne les 10 nouvelles démarches les plus
  • Développer des services
  • Systématiser la possibilité pour l’usager de noter les sites Internet des Administrations
  • une plateforme d’innovation de services « Etat lab »
Télécharger le rapport officiel

vendredi 12 février 2010

Vers une Sécurité as a Service ?

Websense, pionnier dans le développement de solutions de sécurité pour Internet est aujourd’hui le leader mondial en termes de part de marché et protège près de 40 millions de personnes dans le monde.
Fruit de plus de dix années de recherche et d’innovation, la société n’a cessé de révolutionner les systèmes de sécurité sur Internet.
En 2007, Websense annonçait un nouveau système « HoneyJax » permettant de prévenir des attaques sur les sites de réseaux sociaux en simulant le comportement des utilisateurs dans des applications Web 2.0.
L’année suivante, en 2008, la société déployait un nouveau système de recherche et de classification des menaces, « ThreatSeeker », permettant à la fois, de rechercher les failles et menaces, sur les applications Web2.0, avant que les utilisateurs ne subissent une attaque et de protéger ceux-ci, avant que les applications ciblées ne déploient des correctifs. Cette nouvelle approche en terme de sécurité à tout de suite été adoptée par les nouveaux services du net comme bit.ly le fameux service de raccourcie url utilisé lui même par twitter.

Aujourd’hui, Websense est sur le point de diffuser une nouvelle architecture en terme de sécurité : Triton. Cette nouvelle architecture « hybride », propose de mêler les services de recherche et d’analyse temps réel du contenu, une protection de messageries et un une prévention des fuites de données (DLP).
Le but de cette plate-forme est, d’un coté d’offrir une solution unique aux entreprises en matière de sécurité, mais va surtout permettre de centraliser la gestion d’une ou plusieurs politiques de sécurité, en un point central, puis la diffusion de celle-ci vers des entités décentralisées en mode SaaS.
Cette nouvelle brique, nommée « TruHybrid » par Websense, va permettre aux entreprises d’adapter le service et le mode de sécurité offert, selon les implantations géographiques.

La sécurité va peut être elle aussi évoluer vers une politique as a service (aaS) qui limitera une fois encore l’exposition à la technologie en se concentrant uniquement sur le service attendu …

jeudi 4 février 2010

L'ère de la téléphonie mobile gratuite débute t'elle ?


Avec la sortie de sa fameuse tablette l’iPad, Apple à mis à jour son SDK “Kit de développement Logiciel” en y apportant une modification non négligeable: Il est maintenant possible de créer des applications de type voix sur IP en 3G (faisant donc appel aux réseaux cellulaires).
Les applications permettant de téléphoner gratuitement en VoIP en utilisant sa connexion internet existent depuis maintenant quelques années. Petit à petit, elles se sont même portées sur smart phones afin de permettre des communications gratuites de téléphone à téléphone MAIS, l’utilisation d’une connexion internet subsistait la seule barrière à la vraie téléphonie mobile gratuite.
Il semblerait que la barrière cède aujourd’hui avec le SDK 3.2!

Le client Fring a déjà publié une mise à jour de son application permettant d’effectuer des appels VoIP en passant par le réseau 3G et Skype, leader du marché, ne va probablement pas tarder à déployer une nouvelle version permettant d’effectuer les mêmes appels.

Le problème majeur reste encore une fois les opérateurs de téléphonie qui ne permettent pas aujourd’hui, les communications gratuites vers des numéros mobiles.

Toutefois, je viens d’effectuer un test satisfaisant en appelant une personne ayant Skype sur son iPhone, de mon téléphone, sans utiliser de connexion internet, et gratuitement grâce à la dernière version de Fring!